En 2011, la Commission nationale des libérations conditionnelles du Canada lançait son Initiative de renouvellement. Cet examen des processus et des opérations dans l’ensemble de la CNLC avait comme but de formuler des recommandations sur des modèles décisionnels efficaces ainsi que de proposer la mise en oeuvre d’une structure organisationnelle axée sur les pratiques exemplaires. Le Bureau national du SESG a récemment reçu une copie du rapport de l’équipe de l’Initiative de renouvellement. On retrouve 116 recommandations dans le rapport. Du point de vue des ressources humaines, l’accent sera sur le réalignement des postes et des fonctions. Aucune élimination de poste n’est envisagée. Les compressions budgétaires seront effectuées par attrition, ce qui est clairement énoncé dans le rapport:
… les modifications au rôle, à la portée des responsabilités, à la fonction et à la structure se feront graduellement et toute personne touchée fera partie de la transition. Tous ont leur place à la Commission: personne ne perdra son emploi en raison de l’Initiative de renouvellement.
On poussera également pour la centralisation des services.
Une approche graduelle d’une durée de cinq ans a été proposée pour la mise en œuvre afin que la CNLCC puisse accommoder ces recommandations au fil du temps.
Le SESG est déçu que nous et nos membres n’avons pas été considérés des intervenants et n’ont donc pas été consultés pendant la phase initiale. D’autre part, nous pouvons être faire preuve d’un optimisme prudent, puisque nous avons reçu une assurance qu’on serait tenu à jour lors des réunions du CNCPS et qu’on nous consulterait par rapport aux suggestions et aux recommandations des bureaux de première responsabilité (BPR).