Lors d’une réunion officielle la semaine dernière entre les cadres supérieurs du Service correctionnel du Canada et le président national du SESG, Stan Stapleton, et le vice-président national, David Neufeld, au sujet de l’EFRDRD (Évaluation des facteurs de risque dynamiques pour la réintégration des délinquants), le SESG a reçu plus d’informations sur les ressources supplémentaires allouées par le SCC afin de couvrir les heures supplémentaire que les agent(e)s de libération conditionnelle des sites où l’EFRDRD est mis à l’essai devront travailler.
Le SESG a été informé que les détails particuliers concernant ces ressources supplémentaires pour chaque région sont disponibles auprès des sous-commissaires régionaux et des directeurs de district. Le SESG a précisé que des ressources supplémentaires doivent être mises en place afin de s’assurer que les agent(e)s de libération conditionnelle puissent participer pleinement au projet pilote.
Il convient de noter que le SESG se préoccupe de l’impact du projet pilote sur la charge de travail des agent(e)s de libération conditionnelle, en particulier travaillant dans la communauté où les charges de travail sont actuellement déjà très lourdes. Par conséquent, le SESG surveillera de près les sites où l’EFRDRD est mis à l’essai afin d’évaluer l’impact sur les agent(e)s de libération conditionnelle.
Au cas où il y aurait des inquiétudes concernant le déploiement du projet pilote, les membres doivent communiquer avec leur vice-président régional, Stan Stapleton et/ou David Neufeld.