Par suite de l’incident qui s’est produit le vendredi 12 février au pénitencier de Dorchester (Nouveau-Brunswick), le SESG réitère son engagement à s’assurer de la sécurité de ses membres.
Le 12 février, un agent de libération conditionnelle et membre du SESG, a été agressé par un détenu qui s’enfuyait du pénitencier Dorchester (section à sécurité minimale). Le détenu a subséquemment été arrêté par la police et il est à nouveau incarcéré.
Le membre du SESG a reçu son congé de l’hôpital le 12 février et se rétablit présentement chez-lui, mais le SESG demeure extrêmement préoccupé par cet incident.
Nous savons qu’un grand nombre de nos membres travaillent dans des milieux très dangereux et nous sommes engagés à nous assurer qu’elles et ils œuvrent dans les conditions les plus sécuritaires possibles.
À cette fin, la vice-présidente régionale du SESG (SCC – Atlantique), Jeannette Manuel-Allain, va rencontrer les membres des exécutifs des sections locales le jeudi 18 février, pour discuter d’éventuelles mesures de sécurité qui pourraient être proposées à l’employeur pour mise en œuvre immédiate.
De plus, le SESG va surveiller attentivement l’enquête sur l’incident de Dorchester. Le SESG suggère fortement à nos membres de laisser l’enquête suivre son cours et d’èviter de tirer des conclusions prématurèes, avant de connaître tous les faits.
Les dirigeants élus du SESG, à tous les paliers, vont travailler en étroite collaboration avec nos membres, et les gestionnaires de SCC, pour nous assurer que toutes les politiques et procédures pertinentes soient révisées et modifiées, si nécessaire. Cela inclut un examen de l’incident dans la perspective des Comités de santé et sécurité au travail.
Entre temps, les messages de soutien peuvent être envoyés à prudhoC@psac-afpc.com et nous les ferons parvenir à notre membre au Nouveau-Brunswick.