Le 7 juin dernier, la vice‑présidente régionale Andréanne Samson et Sandy Berthelotte, présidente de la section locale CLCC, ont rencontré la députée du Bloc Québécois Kristina Michaud à Ottawa, afin de faire valoir qu’il est important que la législation sur la question des blessures présomptives englobe TOUS les travailleurs et travailleuses victimes de traumatismes.
Elles ont discuté du fait que certains employés de première ligne, tels que les premiers intervenants, sont présumés être vulnérables aux blessures post‑traumatiques et sont automatiquement admissibles à l’indemnisation des travailleur‑euse‑s lorsque leurs blessures sont diagnostiquées. Cependant, il existe de nombreux employé‑e‑s qui peuvent être exposés à un traumatisme professionnel et qui ne sont pas visés dans les définitions des blessures présomptives. Il s’agit notamment des membres du SESJ qui travaillent dans le système correctionnel fédéral et des employé‑e‑s qui fournissent des services essentiels à la GRC.
Le SESJ fait actuellement pression sur le gouvernement fédéral pour qu’il modifie les définitions des blessures présomptives afin que nos membres victimes de blessures post‑traumatiques puissent être couverts par la législation sur la question des blessures présomptives.
Un grand merci à Mme Michaud pour son temps et son soutien. Nous nous réjouissons à l’idée de poursuivre la conversation.