Dans le récent sondage du SESJ portant sur la politique de retour sur le lieu de travail du Conseil du Trésor, les membres ont clairement exprimé que deux choses leur tenaient à cœur. D’une part, l’environnement de travail hybride et, d’autre part, le fait que cette nouvelle politique limite le nombre de jours approuvés pour le télétravail.

Le SESJ est très fier de ses membres dans les écuries, qui jouent un rôle unique au sein de la GRC. Nous nous réjouissons de travailler avec eux et de les aider à faire de leur lieu de travail un endroit sain et sûr.

Préalablement au refus de travail, Patrick Ménard, Vice-Président régional du SESJ au Québec a signalé des circonstances en milieu de travail qui représentaient un risque majeur pour la santé ou la sécurité d’une employée.  Malheureusement, la réponse de l’employeur à la suite de ce signalement s’est avérée insatisfaisante et aucune mesure n’a été prise pour mitiger les risques et protéger l’employée.

Le président national David Neufeld et le vice-président régional Bill Bailey ont rencontré quelques membres du SESJ qui appartiennent au Cercle autochtone de l’AFPC afin de discuter des difficultés auxquelles se heurte le personnel autochtone travaillant au sein des services correctionnels fédéraux et auprès de délinquant-e-s autochtones.

Les événements de septembre dernier dans la Nation crie de James Smith ont profondément ébranlé notre syndicat et l’ensemble du pays. Depuis cette tragédie, le SESJ s’efforce d’offrir un soutien constant aux membres touchés directement ou indirectement dans le cadre de leurs fonctions au sein des services correctionnels, de la GRC ou de la Commission des libérations conditionnelles du Canada.

Le recours collectif Greenwood Gray, autorisé par la Cour fédérale, porte sur l’intimidation et le harcèlement à l’endroit de la personne subis par des employé-e-s de la GRC. Dès que nous avons pris connaissance de ce recours collectif, nous avons cherché à déterminer s’il serait possible de saisir cette occasion pour aider nos membres à résoudre un problème qui date depuis longtemps et qui est profondément ancré dans la culture de la GRC.

La visite a d’ailleurs été l’occasion de rencontrer plusieurs de ces membres du SESJ et de répondre à leurs question au sujet des problèmes de paies liés à Phénix, les efforts de représentation concernant le nouveau modèle de travail hybride et des questionnements plus généraux sur les négociations collectives. Le télétravail reste une priorité absolue pour beaucoup des membres et le SESJ s’engage à persévérer pour la défense d’une politique souple et nuancé à cet égard.

La directive du Conseil du Trésor aura des conséquences négatives disproportionnées sur les fonctionnaires qui jouent aussi un rôle actif de soignante. Il est très difficile de trouver des places en service de garde avant et après l’école au beau milieu de l’année. De nombreux parents sont donc forcés à se démener pour trouver d’autres solutions, ce qui entraîne du stress et de l’anxiété qu’on aurait pu éviter à ces fonctionnaires qui travaillent sans relâche depuis le début de la pandémie.

Nicole Akhenak, membre du SESJ, a pu aborder avec M. McCauley plusieurs des défis que rencontrent les agent-e-s de libération conditionnelle. Elle a décrit l’expérience des membres du SESJ qui doivent soutenir la réinsertion et la réhabilitation des délinquants conformément, mais sans disposer de ressources matérielles et personnelles suffisantes.

Alex Creamer a méthodiquement énuméré au député Richards les priorités des membres du SESJ. En tête de liste figurait la campagne sur les blessures présomptives.